5 astuces pour avoir son permis à tous les coups !
Comme vous le savez peut-être, l’examen du permis de conduire est noté sur 31 points. Pour que le résultat soit favorable, il est nécessaire d’avoir un minimum de 20 points. Mais comment les obtenir ?
Plan de l'article
Examen du permis de conduire
Tout d’abord, il s’agit du célèbre certificat d’examen du permis de conduire ou CEPC.
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Plusieurs parties principales de l’évaluation sont distinguées :
- Connaître et maîtriser votre véhicule
- Comprendre la route
- Partager la route
- Autonomie et sensibilisation aux risques
- Courtoisie au volant
- Conduite économique et écologique
Connaître et maîtriser votre véhicule
- Installation au poste de conduite
- Effectuer des contrôles de véhicules
- Connaître et utiliser les commandes
Installation au poste de conduite
— Ce critère est noté sur 2 points
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— Vous devez être en mesure de régler correctement votre siège, dossier, volant, rétro, ceinture…
— Pour installer, si vous réglez vos rétroviseurs puis réglez votre siège, les rétroviseurs ne seront plus réglés correctement. Faire les choses dans le bon ordre est déjà un point important.
— N’oubliez pas de reverrouiller le volant avant de partir si vous avez besoin de le régler. C’est dangereux et donc potentiellement éliminatoire.
— Pensez à jeter un oeil à vos passagers. Ils ont leur ceinture ? Sur nos voitures récentes, un feu s’allume pour indiquer qu’un passager n’est pas attaché. Attention, cependant, qui ne fonctionne souvent que pour les sièges avant. Vous pouvez toujours vous assurer de cela en demandant simplement à vos passagers s’ils sont attachés.
— Avant de partir, vérifiez si votre frein à main est bien desserré.
— N’hésitez pas à arrêter si vous êtes finalement mal installé. Exprimez-le à l’inspecteur et choisissez un endroit sûr où vous n’interférerez pas avec la circulation.
Effectuer des contrôles de véhicules
Pendant votre examen, vous devez répondre 2 questions techniques sur le véhicule. Une question concerne l’intérieur et l’autre l’extérieur. L’inspecteur profite souvent des manœuvres pour les mettre sur vous. Pas tant que vous vous garez ! Non, non, je vous rassure, avant ou après.
La vérification interne peut porter sur une commande telle que l’allumage des feux de croisement, le dégivrage de la lunette arrière ou les feux de détresse.
Le contrôle externe peut porter sur les pneus, l’éclairage ou la partie moteur.
Il y a :
- un point de vérification interne,
- un point de vérification externe,
- un point pour la question de sécurité soulevée par le contrôle externe.
Connaître et utiliser les commandes
1) La boîte de vitesses
Vous devez pouvoir l’utiliser :
- Choisir le bon rapport de vitesse selon les besoins (montée, accélération élevée, conduite économique en ville…)
- Sans regarder le levier
- Sans faire d’erreurs dans la manipulation (ne faites pas le mal vitesses)
2) Le volant
Vous devez savoir comment tourner le volant correctement, et rapidement si nécessaire.
La position de vos mains affecte la façon dont vous tournez le volant, alors gardez vos mains bien sur le dessus du volant.
3) Pédales d’accélérateur, de frein et d’embrayage.
Vous devez pouvoir utiliser vos pédales pour assurer un contrôle optimal de votre voiture.
Un cas classique d’échec de contrôle des pédales est le basculement. Un seul réglage pendant votre examen n’est pas des séries éliminatoires. Des cascades répétées peuvent devenir.
Mais ce n’est pas tout, c’est la façon dont vous gérez la suite qui est plus importante !
- Redémarrez le moteur rapidement afin de ne pas interférer avec le trafic
- Avez-vous bloqué dans un endroit où vous ne devriez pas décroché ? Une zone où l’aspect des autres est élevé par exemple.
En bref, chaque cas est différent. Rappelez-vous : Ai-je été dangereux ? Ou la situation serait-elle devenue dangereuse dans cet endroit ?
La pédale de frein mérite également une attention particulière. Freinage soudain, pas assez, ne pas s’arrêter au bon endroit sont des situations tout aussi dangereuses qui doivent être exclues.
4) Accessoires, tableau de bord et témoins
Vous devez, de vous-même et l’inspecteur vous demande, être en mesure d’utiliser les différents commentaires de la voiture. C’est à dire ? Quelques exemples :
- Bien sûr, les clignotants
- Éclairage : si la visibilité l’exige ou pour communiquer avec un autre conducteur (faire un appel au phare)
- Essuie-glaces en cas de pluie
- Dégivrage de la vitre arrière (surtout en hiver et en cas de pluie) et ventilation du pare-brise
- Le pare-soleil
- Frein à main : Utilisez-le pour un départ en pente, ne l’oubliez pas avant de quitter le Centre d’examen du permis de conduire ou après votre manœuvre.
Sur le tableau de bord, vous vous inquiétez si un voyant orange ou rouge est allumé. Si vous savez ce que c’est, essayez de résoudre le problème par vous-même, en expliquant que vous devez arrêter si c’est nécessaire.
Si vous ne savez pas ce symbole, dire à l’inspecteur qu’il y a un problème. Il vous dira la procédure à suivre.
Comprendre la route
Prenez les informations
1) Avant et côtés
Prenez votre regard le plus loin possible devant vous pour anticiper autant que possible ce qui peut arriver.
Lorsque vous approchez des intersections, n’attendez pas le dernier moment pour regarder les côtés, mais essayez de modifier le regard devant, puis sur les côtés et ainsi de suite. Toujours dans le but de détecter des informations importantes dès que possible.
2) Dans les miroirs
Vous devez contrôler derrière vous pour assurer votre sécurité et celle des autres. Voici quelques cas où l’inspecteur surveillera davantage vos contrôles :
- Vous freinerez pour vous arrêter (un incendie, un piéton, une intersection…)
- Vous changerez de direction, à gauche par l’exemple, et un deux-roues pourrait vous dépasser lorsque vous tournez.
- Pour vous insérer dans la circulation (à l’arrêt ou à l’arrêt rapide) trafic)
3) Angles morts
En changeant de voie, en traversant une voie réservée, en quittant son parking, les autres conducteurs ne seront pas visibles dans les rétros. Un contrôle dans le coin mort est obligatoire.
4) Vers la lunette arrière
Pour le stationnement, les rétros sont une aide précieuse, mais leur champ de vision est très limité. Pour bien voir ce qui se passe autour de la voiture en marche arrière, il est essentiel de faire demi-tour et de regarder en vision directe dans la lunette arrière. Et bien sûr pour alterner avec le rétro.
Adapter votre look aux circonstances
La conduite consiste à analyser ce qui peut arriver et à adapter le rythme en fonction de cela. Je peux passer. dans une rue large et déserte un jour, puis y retourner un autre jour avec un cours de jardin d’enfants sur une promenade. Mon look sera différent dans les deux cas.
Les règlements — limites de vitesse — doivent être pris en compte, mais les circonstances exigent parfois que vous roulez bien en deçà des limites.
Voici quelques cas :
- Une voiture commence à se retirer pour sortir de sa place. Je ralentit pour m’assurer que je peux m’arrêter facilement si le conducteur ne me voit pas.
- Un piéton se promène sur le trottoir et s’approche d’un passage pour piétons
- Un chauffeur arrivant à votre gauche sur une priorité à droite semble ne pas vous avoir vu et peut vous brûler la priorité.
- Un virage sans visibilité, qui pourrait masquer un véhicule arrêté, un cycliste, un passage piéton.
Mais adapter son look est aussi l’inverse : savoir accélérer autant que la situation l’exige.
- Pour s’engager à partir d’un arrêt ou d’un ceder-le-passage et surtout si vous voyez que vous pouvez interférer.
- Pour vous insérer sur une piste rapide.
- Pour monter à 80 km/h en quittant l’agglomération.
Vous trouvez souvent que punir parce que vous conduisez trop lentement n’est pas justifié. Mais conduire anormalement lentement peut inciter d’autres conducteurs à effectuer des dépassements dangereux.
Les cas les plus courants dans la l’examen des permis sont les suivants :
- Restez à 50 km/h pendant que le panneau de sortie construit a été franchi.
- Conduisez à 70 km/h au lieu de 80 km/h. Pour rappel, les autres sont limités à 90 km/h, donc ils sont embarrassés.
- Ralentir excessivement dans une intersection claire. Dans ce cas, il faut voir si cela montre une prudence excessive ou un manque de contrôle du véhicule.
- Conduire à 40 km/h au lieu de 50 km/h sur un boulevard large et clair.
Appliquer le règlement
Une règle de base pour l’examen d’un permis de conduire : se conformer aux règles de la route !
1) Limites de vitesse
Un léger excès de vitesse pendant l’examen peut être toléré. Par exemple, monter à 50 km/h dans les agglomérations dépassera légèrement 55 km/h. Dans ce cas, et si cela n’arrive qu’une seule fois, il passe.
Mais faire de grands excès de vitesse, être à 70 km/h au lieu de 50 est une erreur majeure.
Un cas où l’excès de vitesse sera toléré : sur les voies de décélération, lorsque la limitation chute brusquement, au point de freinage très dur, pourrait provoquer un débordement.
2) Signes et marquages
Vous devez respecter les panneaux et les feux :
- l’ arrêt du signalement ;
- diverses interdictions : interdiction de tourner à gauche ou à droite, direction interdite, priorité de passage sur un rétrécissement de la chaussée, limites de vitesse…
- signes de priorité de passage : arrêt, ceder-le-passage, priorité à droite…
- feux orange et rouge.
Les marquages de sol sont tout aussi importants que les panneaux :
- Lignes continues, dont la traversée est interdite, même pour passer un cycliste.
- Close-up lignes discontinues interdisant le changement de voies dans les intersections,
- Voies réservées : voyager sur une voie de bus ou sur une piste cyclable.
- passages piétons : ne vous arrêtez pas sur eux
Dans certains cas, les règlements ne peuvent pas être respectés :
- Un camion dont le conducteur décharge sa marchandise empiète sur votre voie alors qu’il y a une
- ligne Le feu va tard à l’orange, mais un conducteur s’en tient à vous.
- Vous devez la bonne priorité à un conducteur dans une intersection, mais cette intersection est bloquée. Seule solution pour déverrouiller la situation : vous devez passer.
- Tu vas quitter l’autoroute. Avant de prendre la voie de décélération, un panneau indique une limite inférieure à la vôtre. Afin de ne pas ralentir la circulation sur l’autoroute, il est préférable d’attendre que vous soyez sur la voie de décélération avant de ralentir.
Prévenez clairement à l’inspecteur que vous savez que vous êtes en infraction, mais que vous n’avez pas le choix.
Partager la route avec d’autres utilisateurs
Communiquer avec d’autres utilisateurs
Vous n’êtes pas seul sur la route et communiquer avec nous est essentiel pour se respecter mutuellement. Pour cela, vous devez :
- Utilisez vos clignotants pour changer de voie ou de direction, faire un écart, dépasser un autre utilisateur, quitter un rond-point,
- Utiliser des feux de détresse, des feux d’appel, des avertissements sonores (klaxon) dans des situations particulières.
- Wow avec vos mains ! Tout simplement ! Pour dire à un conducteur de s’engager devant vous, un piéton qu’il peut traverser…
Comprendre les indications des autres.
D’ autres sont susceptibles de vous agacer aussi. L’inspecteur vérifie également si vous tenez compte des indications des autres conducteurs et si votre comportement est approprié.
Partager la chaussée
Je ne le dirai jamais assez, partageons la route. Ça ne nous appartient pas.
1) Choisir le bon chemin
Vous devez savoir qu’en fonctionnement normal, vous devez utiliser la voie la plus à droite. Mais pour changer de direction, il est parfois nécessaire de changer de voie.
Pour tourner à gauche, par exemple, même en présence de 3 voies pour tourner à gauche, vous devez toujours utiliser la voie la plus à droite.
Sur l’autoroute, vous ne devriez pas non plus interférer avec la circulation, en restant sur les voies les plus à gauche, tandis que la droite est disponible.
2) Se mettre sur son chemin
Vous devez être en mesure de positionner vous bien dans votre voie. Ne pas être trop gauche ou trop droite.
- Dans les virages, les conducteurs ont tendance à couper les virages. En approchant soit du trottoir, soit des véhicules venant en sens inverse.
- Par le garant, votre voiture ne doit pas interférer avec la circulation une fois la manœuvre terminée. Si nécessaire, corrigez si c’est le cas.
D’ autre part, certaines situations doivent serrer la droite ou la gauche :
- Un véhicule large (camion, tracteur…) arrive en face. Nous nous attendons à ce que vous ajustiez votre rythme et resserrez votre droite
- Un énorme trou s’est formé sur la chaussée, ce qui pourrait endommager la voiture ? Vous n’avez pas le choix, vous devez vous écarter. Même avec un obstacle au sol (branche d’arbre, débris…
Maintenir des espaces sûrs
1) Espaces avec véhicules à l’avant
En cas de freinage soudain par le conducteur devant vous, par exemple, à cause d’un enfant qui passe soudainement, vous devriez avoir le temps de réagir facilement, sans stress. Pour cela, la distance que vous laisser avec d’autres en face de vous est important.
Rappelez-vous que la loi exige un minimum de 2 secondes de distances de sécurité. C’est à vous de vous amuser à tester tout en conduisant ! Pas facile !
- Si un conducteur se détend devant vous avec trop peu de distance, c’est à vous de réagir et d’ajuster automatiquement votre distance.
- Soyez également prudent lorsque vous vous insérez sur les autoroutes pour ne pas venir et vous coller à une voiture en face du moment même de votre changement de voie.
2) Espaces latéraux
Nous parlons souvent de distances de sécurité avec les véhicules devant nous, mais nous ne devons pas oublier les espaces latéraux, qui causent beaucoup de défaillances dans l’examen.
- Si vous passez un cycliste, déplacez-vous aussi loin que possible, selon la possibilité bien sûr, et à condition que vous n’interfériez pas avec les coureurs qui viennent devant vous.
- En passant par des véhicules garés, évaluez la largeur de la voiture afin de ne pas vous rapprocher des autres véhicules. véhicules.
- Traverser les véhicules dans la direction opposée, dans une rue étroite. Dans ce cas, ajustez votre rythme autant que nécessaire, ou même jusqu’à l’arrêt total
- Pendant vos manœuvres, laissez assez d’espace avec les voitures autour de vous. Ne vous dites pas quand vous êtes à 10 cm d’une voiture, « c’est bon, je m’en occupe ». Non, ne laisse pas de place au doute dans la tête du détective.
Autonomie et sensibilisation aux risques
L’ inspecteur observe votre analyse des situations et des décisions que vous prenez. Il peut vous poser une question au sujet d’une situation que vous venez de rencontrer en ce moment, pour savoir comment vous l’avez comprise et pourquoi vous avez pris cette décision.
1) Analyse de la situation
Voici les questions que l’inspecteur pourrait vous poser :
- Avez-vous vu la voiture garée qui commençait à se retirer et à sortir ?
- Avez-vous vu les piétons sur le trottoir jouer au ballon ?
- Avez-vous vu la voiture à distance démarrer très lentement ?
- As-tu fait Tu vois le chauffeur qui était censé te donner ? le passage ?
- Avez-vous compris que derrière le bus qui est arrêté, les piétons peuvent traverser ?
Toutes ces situations nécessitent une réaction de votre part, pour anticiper le danger, qui pourrait arriver.
2) Adaptation aux situations
En prenant les 5 cas ci-dessus, comment avez-vous réagi ?
- Avez-vous ralenti et averti le conducteur de retraite de s’arrêter ?
- Avez-vous ralenti quand vous avez vu les piétons jouer au ballon
- Avez-vous anticipé votre ralentissement en voyant cette voiture dans la distance qui démarre très lentement et pourrait vous ralentir ?
- As-tu ralenti en voyant ce chauffeur arriver assez vite quand il doit te laisser le chemin ?
- Tu as ralenti quand tu as vu l’arrêt de bus ?
Vous avez compris, bien sûr, que si vous répondez non aux 5 dernières questions, ce n’est pas bon !
Vos gestes et vos réactions traduisent votre approche de la sécurité routière. L’inspecteur voit vos pieds. Il voit votre pied droit se déplacer de la manette des gaz au frein, même sans regarder directement vos pieds. Comme ton entraîneur.
Donc, en plaçant votre pied droit à l’approche d’un danger, vous montrez clairement à l’inspecteur que vous avez compris le danger et que vous êtes prêt à y faire face.
Lorsque l’inspecteur vous interroge sur une erreur que vous venez de commettre, ne restez pas abusé, admettez votre erreur et expliquez-lui ce que vous auriez dû faire à la place. Montre-lui que tu te questionnes.
3) Conduite autonome
Pendant 5 minutes, vous devez être en mesure de suivre un itinéraire, donné par l’inspecteur. Celui-ci vous donne une direction à suivre, un nom de ville le plus souvent, et avec l’aide des panneaux, vous devez suivre cette direction.
L’ inspecteur connaît les locaux et vous donnera une direction où il est sûr qu’il y a les signes nécessaires, de sorte que vous ne pouvez pas vous perdre.
Rappelez-vous que s’il n’y a pas de signe, tout va bien ! En arrivant à un rond-point, par exemple, si la direction n’est pas marquée sur le grand panneau indiquant les directions, cela signifie qu’elle est droite.
Courtoisie au volant
Conduire, c’est partager la route. Et dans certaines situations, le code de la circulation doit être mis de côté parce que la situation sort du contexte du code de la circulation. L’inspecteur vous fait également part de la façon dont vous gérez les difficultés avec les autres.
- Vous arrivez sur un feu rouge. Devant vous, aucune voiture ne voulait laisser passer ce piéton. Votre lumière est rouge, ça ne sert à rien de courir ! Ralentissez, donnez-lui un signe à traverser.
- Votre intersection est bloquée, arrêtez-vous avant l’intersection afin de ne pas le bloquer définitivement. Et rendre cela plus facile pour ceux qui voudraient se tourner.
Attention, cependant, de ne pas exagérer courtoisie, de ne pas laisser passer tout le monde, sous prétexte que vous devez être courtois. Votre décision doit être ajustée en fonction de chaque situation.
Économique et respectueux de l’environnement
conduite À l’ère du réchauffement climatique, il est logique de prendre conscience de la pollution émise par votre voiture. Votre style de conduite a un impact sur la planète et les petites habitudes peuvent aider à réduire cette pollution.
- Ne démarrez pas brusquement : un démarrage avec un régime moteur élevé consomme beaucoup de carburant
- Anticiper les ralentissements : dès que vous lâchez totalement votre accélérateur, votre consommation de carburant est : 0 ! ! ! !
- Éviter les accélérations et le freinage soudain : logique
- Évitez de conduire à bas ou à haut régime : le moteur lutte à bas régime et lutte pour rouler. En régime élevé, il tourne très vite et consomme beaucoup de carburant.
Choisir une plateforme parfaite pour passer le permis et le réussir
Parmi les astuces à mettre en place pour réussir votre passage du permis dès la première fois, il est indispensable de vous tourner vers une plateforme conçue pour vous aider. Vous pouvez décider de vous tourner vers certaines plateformes en ligne. Par exemple, ce site vous permet de passer votre permis de conduire.
Sur ce genre de plateforme, il est possible de suivre l’entièreté de votre processus d’apprentissage facilement. De cette manière, vous voyez les points à améliorer et par conséquent, ceux sur lesquels, il est nécessaire de travailler davantage. En effet, votre moniteur de conduite peut vous transmettre ses différents ressentis et avis sur votre conduite. C’est une bonne technique pour progresser et donc, multiplier vos chances pour le jour J.
De plus, grâce à ce type de plateforme, il est également possible de choisir le moniteur qui vous accompagnera lors de votre passage au permis. Peut-être que ce choix vous permettra de moins appréhender votre passage et ainsi, arriver le jour de votre permis sans stress à ce sujet. Vous serez de cette façon, accompagné par une personne qui vous connaît bien et qui a confiance en vous.